À la suite de la pandémie, de nombreux projets et solutions ont émergé en raison de la nécessité de fabriquer des pièces et des composants causée par la pénurie de matériaux.

Il s'agit du cas du Dr Alejandro Pagán Ruiz. Dentiste et expert en Endodontie, Dentisterie Restauratrice, Parodontologie et Implants et spécialiste en Endodontie Microchirurgicale, dans sa Clinique Dentaire Corbalán, qui se rend chez Recreus pour être conseillé sur une question de matériaux pour imprimer un dispositif qu'il a conçu.

Fabriquez des dispositifs qui aspirent une plus grande quantité d'aérosols avec un matériel stérilisable dans l'autoclave.

• Réduction des aérosols.En conséquence de la pandémie, tous les dentistes commencent à réfléchir à la manière de créer des dispositifs qui aident à réduire les aérosols, l'une des sources les plus puissantes de contagion du Covid-19, ou à créer, par exemple, des masques avec filtres en raison de l'absence d'EPIs.
• Recherchez un matériau stérilisable.C'est alors que le Dr Alejandro Pagán nous a contactés pour être conseillé sur les propriétés de nos matériaux, recherchant un filament pour FDM qui pourrait être autoclavable et adapté à son imprimante 3D Cetus. Pour ce faire, il a conçu une copie d'un dispositif à placer près de la bouche du patient et ainsi aspirer une plus grande quantité d'aérosols. Le problème était qu'il devait être stérilisé avec chaque patient, et les matériaux thermoplastiques fabriqués dans les imprimantes à filament ne peuvent pas être autoclavés. C'est alors que nous lui avons conseillé d'imprimer son design avec le filament de polypropylène PP·3D.

Imprimez les dispositifs avec le filament de polypropylène PP·3D. Un matériau autoclavable.

Le filament de polypropylène de Recreus était le matériel que nous avons recommandé au Dr. Pagán pour l'impression de ses dispositifs, car c'est un matériau présentant de nombreux avantages et propriétés, parmi eux :

• Résistant aux produits chimiques.
• durable
• Léger
• Très facile à imprimer grâce au "primer" accompagnant.
• avec un faible coefficient de frottement
• Non-toxique
• Autoclavable (uniquement couleur naturelle)
• Légèrement flexible au toucher.

Des dispositifs imprimés en 3D conçus pour aspirer des quantités accrues d'aérosols provenant des patients et pouvant être autoclavés pour un contact avec le patient

• Matériau autoclavable PP·3D.Le filament de polypropylène PP·3D a été une grande découverte avec de nombreuses possibilités pour le Dr. Alejandro Pagán. Il ignorait qu'un tel matériau pouvait être stérilisé et soumis à ces températures et pressions sans subir de changements dimensionnels majeurs. Rappelons que pour la stérilisation du matériel, il est introduit dans l'autoclave à une température de 134ºC pendant environ 3-5 minutes.
• PP·3D résiste à la température et à la pression.Enfin, il parvient à imprimer des dispositifs d'aspiration de grand volume, capables d'aspirer de grandes quantités d'eau, de salive ou de sang et également adaptés à l'élimination de la grande majorité des aérosols générés. Tout cela avec la possibilité de réutilisation en raison de la capacité de résistance à la température et à la pression du matériau PP3D à quelques cycles de stérilisation.
• Facile à imprimer grâce au "primer" qu'il a incorporé.En outre, il s'avère être un matériau qui n'est pas difficile à imprimer grâce à l'adhésif ou au primaire qui est incorporé, obtenant une pièce qui est certes élastique, mais avec une grande résistance aux impacts, avec le plus grand avantage d'être autoclavable pour un certain nombre de cycles.
• Le secteur clinique impliqué dans la fabrication de ses propres outils et besoins.Au niveau médical et dentaire, ce cas présente un grand potentiel pour le Dr Pagán, puisqu'il offre l'opportunité, conjointement avec la technologie d'impression 3D, que le secteur clinique puisse également participer et fabriquer ses propres ressources, fournissant des solutions qui sont plus ajustées aux besoins qui leur sont présentés au quotidien.